Faustrecht der Freiheit (Le Droit du plus fort)
Franz Biberkopf, surnommé Fox, perd son travail à la fête foraine mais gagne 500 000 marks à la loterie. Il séduit Max, un antiquaire, qui l’introduit dans la société bourgeoise et le présente notamment au bel Eugen, le fils d’un imprimeur en faillite. Fox tombe amoureux d’Eugen, qui se sert de lui pour sauver l’entreprise familiale et se faire offrir un luxueux appartement.
« Il y a au moins deux intentions louables dans LE DROIT DU PLUS FORT : la première est de chercher à représenter dans la vie quotidienne, en Allemagne aujourd’hui, les différenciations de classe, les oppositions de classe, à y inscrire la lutte des classes ; la deuxième est de sortir le monde homosexuel du ghetto mystificateur où il se trouve refoulé. Dans les deux cas, mettre en défaut la société allemande, révéler ce qu’elle cache, ce qu’elle se cache, pour la changer. »
Serge Le Péron, « Cahiers du cinéma », n. 262-263, janvier 1976
Weltvertrieb
R.W.F. Werkschau
Verleih (D)
Basis-Film